Pierre Morhange, « Billet de John Brown où l'on donne le "la"», Philosophies, n° 1, mars 1924.
Pour la première il s'agit d'affirmer la possibilité d'un nouveau mysticisme, tandis que la seconde met en évidence les velléités révolutionnaires de ses animateurs.
Franck Venaille, Pierre Morhange, Paris, Seghers, coll. « Poètes d'aujourd'hui »,, p. 33.
La formule en question provient d'un poème de Papiers d'identité. Franck Venaille, Avant l'Escaut, Poésies et proses, 1966-1989, éd. de S. Cunescu, préface de M. Blanchet, Strasbourg, L'Atelier contemporain, 2023, p. 45.
Action poétique, n° 2,1958. On peut y lire le poème « Air de flûte improvisé pour l'anniversaire de Henri Heine », initialement publié dans Europe en février 1937.
« Hommage à Pierre Momange », Action poétique, n° 18, octobre 1962. Les contributeurs se nomment Henri Deïuy, Luc Boltanski, Oliven Sten et André Mathieu.
Georges Mounin, « Poèmes de Pierre Momange », in « Le fascisme en France », Chorus, n° 2/3, juin 1962, p. 20-21.
Georges Mounin, « Six poètes et un critique », m Action poétique, n° 26, janvier 1965, p. 7-8. Se voient rassemblés Guy Bellay, Gabriel Cousin, Pierre Delia Faille, Georges-L Godeau, Jean Perret, ainsi que Franck Venaille.
Dans la chronique « Donner à lire », Venaille célèbre en Pcmirrence chez Morhange l'alliance entre beauté formelle et « l'authenticité du témoignage », in Action poétique, n° 32-33, p. 86-88.
Franck Venaille, « Pour la poésie du vécu », in Chorus, n° 4, « Solitude », p. 43-51.
« Lafoigue et Max Jacob, Tristan Corbière, Germain Nouveau et son cher Henri Heine », Ibid., p. 13. Venaille se revendiquera de la même lignée spirituelle.
« Lafoigue et Max Jacob, Tristan Corbière, Germain Nouveau et son cher Henri Heine », Ibid., p. 13. Venaille se revendiquera de la même lignée spirituelle, p. 67.
« Pour que je fasse des poèmes / Il îaut que je souffre / Et j'en fais très souvent », in Pierre Morhange, Poèmes brefs, Éditions de la revue Strophes, 1965, p. 22.
Franck Venaille, « Pierre Morhange et la souffrance active », in C'est nous les Modernes, Paris, Flammarion, coll. « Poésie / Flammarion », 2010, p. 99-100.
Pierre Morhange, « Échange », m Le Désespoir clamant, op. cit., p. 26.
Ce sont les mots de Morhange répondant aux questions de Luc Boltanski, à l'occasion d'un entretien paru dans Paris-Lettres, déc. 1959. Cité par Venaille dans son choix de textes, op. aï., p. 156.
Pierre Morhange, « Épigramme », m La Vie est unique, Paris, Gallimard, coll. «Blanche», 1933, p. 155.
«Hé ! là ! immense monde/Tuas bien la place pour ma sensibilité». Pierre Morhange, m Autocritique, suivie de pièces à conviction, Pans, Cahiers « Pierre Seghers », n° 110, 1951, p. 31.
Franck Venaille, « Le point de non-retour », L'Apprenti foudroyé (1969), in Avant l'Escaut, op. cit., y. 117.
Franck Venaille, Pourquoi tu pleures, dis pourquoi tu pleures ? Parce que le ciel est bleu... Parce que le ciel est bleu ! (1972), m Avant l'Escaut, op. cit., p. 125.
Pierce Morhange, « Franck Venaille, Journal de bordletII», in Europe, mars 1963, p. 169.
Pierre Morhange, op. cit., p. 32.
Fruit de la traduction à laquelle il s'était adonnée avec Norbert Guterman. L'ensemble est réédité sous la forme d'une mince plaquette, imprimée à compte d'auteur à Tarbes, en 1948.
Poèmes d'ouvriers américains, op. cit., p. 1.
Au début de la décennie les livres de poésie publiés dans la collection « Blanche » se comptent sur les doigts d'une main. Avant 1935, paraissent Corps et biens de Desnos (1930), Le Forçat innocent de Supervielle (1930), Les Noces de Jouve (1931), ainsi que l'Eve de Péguy (1933).
Franck Venaille, Pierre Morhange, op. cil, p. 54.
Pierre Morhange, Le Sentiment lui-même, Pierre Jean Oswald, 1966, p. 45. Le poème débute ainsi : « Ah ! (' Armorique /Alléluia les massacres/ L'histoire l'histoire / Le mur le mur de nous / Des mains tendues entassées en tous sens [...] ».
« Berceuse à Auschwitz », « Hôtel Lutétia 44 », « Après les deuils de l'extermination » ; on retrouve rassemblés ces poèmes dans Le Sentiment lui-même, op. cit., p. 53-59.
Que l'on songe aux poèmes consacrés à l'évasion d'Henri Alleg (dans Journal de bord -second voyage), aux morts du métro Charonne (revue Identités, n° 9) ou à l'exécution par le régime franquiste du militant communiste Julian Grimau (Action poétique, n° 21).
Poèmes Brefs, op. cil, p. 18.
Pierre Mornange, « Reportage à la portée de ma bourse », in Avant-Poste, n° 2, août 1933.
«L'attitude d'un passant, l'expression de son visage qu'on aperçoit pour un seul instant fait luire devant votre regard le malheur de quelqu'un qui est lié à toutes sortes de conditions malheureuses [...] », ibid.
Pierre Morhcmge, op. cit., p. 59. Venaille compare dans cette partie son art de la « fragilité, du souvenir » à l'œuvre de Christian Boltanski.
« Habillé trop tragiquement te voilà pris », constate le poète dans « Au matin », in Autocritique, op. cit., p. 27.
« Habillé trop tragiquement te voilà pris », constate le poète dans « Au matin », in Autocritique, op. cit, p. 28.
« Au café », in Le Sentiment lui-même, op. cit., p. 4041.
Pierre Morhange, op. cit., p. 30.
Franck Venaille, Hourra les Morts , Sens, Obsidiane, 2003, p. 46.
Franck Venaille, Hourra les Morts , Sens, Obsidiane., p. 25.
« Billet [de John Brown] où l'on donne le "la"», op. cit.
T.S. Eliot, « What is minor poetry ? », TTîe .Sfewawe ev/av, VoL 52,1946, p. 4.