[fr] Dernière née des céramiques dentaires destinées à faire du tout céramique et super championne de la résistance mécanique, la zircone, ou plutôt devrait-on dire les zircones, sont apparues sur le marché de la prothèse dentaire au début des années 2000, dix ans après l’alumine et vingt ans après les premières vitrocéramiques renforcées (Empress, Ivoclar-Vivadent, Schein, Lichtenstein) et les céramiques infiltrées (In Ceram, Vitazahnfabrik, Bad Sackingen, Allemagne). Des prothèses émaillées aux restaurations monolithiques en zircone haute translucidité, que penser des différents matériaux commercialisés depuis déjà plus de 15 ans ? Que penser de cette céramique que les fabricants ont baptisé « le métal blanc », car la zircone pourrait selon eux satisfaire la majorité des indications, de l’inlay au bridge de 14 éléments ? Qu’en dit la littérature ? Quelles sont les indications mais aussi les limites des matériaux zircone ? Telles sont les questions qui seront abordées au-travers de deux articles consacrés à des céramiques pas comme les autres...
Research Center/Unit :
d‐BRU - Dental Biomaterials Research Unit - ULiège
Disciplines :
Materials science & engineering Dentistry & oral medicine
Author, co-author :
MAINJOT, Amélie ; Centre Hospitalier Universitaire de Liège - CHU > Département de dentisterie > Service prothèse fixée
Language :
French
Title :
Zircone(s) partie 2: Restaurations émaillées ou monolithiques ? La quête de la résistance et de la translucidité.