[fr] Au lendemain de la répression du mouvement
démocratique de 1989, journalistes, analystes et autres
« China watchers » abondaient en commentaires
crépusculaires sur la pérennité du régime chinois.
L’argument le plus souvent évoqué était celui d’un
décalage insoutenable entre réformes économiques – qui
connaîtront un approfondissement à l’occasion du fameux
« voyage dans le Sud » de Deng Xiaoping en 1992 – et l’absence de réformes politiques, un décalage qui devait
presque immanquablement signifier la fin du régime
communiste.
Quelque vingt-cinq ans plus tard, où en est-on ?
Disciplines :
Sociology & social sciences
Author, co-author :
Florence, Eric ; Université de Liège - ULiège > Institut Confucius