Voir ici même l'article d'Ét. Brunet. Cf. aussi le numéro 2 de la revue CORPUS (2003).
Cf. B. DUPRIEZ, L'étude des styles ou la commutation en littérature, Montréal, Didier, 1969, p. 225
et surtout la nouvelle définition de G. MOLINIÉ, «Le style en sémiostylistique », dans G. MOLINIÉ et P. CAHÉ (éd.), Qu 'est-ce que le style? Actes du colloque international, Paris, PUF, 1994, p. 201-211.
J.-P. CHAUSSERIE-LAPRÉE, L'expression narrative chez les historiens Latins, Histoire d'un style, Paris, E. de Boccard, 1969.
Cf. D. LONGRÉE, X. LUONG et S. MELLET, «Les motifs: un outil pour la caractérisation topologique des textes », dans S. HEIDEN ET B. PINCEMIN (éd.), JADT 2008: actes des 9èmes journées internationales d'analyse statistique des données textuelles, Lyon, 12-14 mars 2008, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2008, 2, p. 733-744 (article en ligne disponible à l'adresse suivante: http://lexicometrica.univ-paris3.fr/jadt/jadt2008/pdf/longree-luong-mellet.pdf);
D. LONGRÉE et S. MELLET, «Syntactical Motifs and Textual Structures », Belgian Journal of Linguistics 23(2009), p. 161-173;
ElD., «Légitimité d'une unité textométrique: le motif », dans A. DLSTER, D. LONGRÉE ET G. PURNELLE (éd.), JADT 2012, llèmes Journées internationales d'analyse statistique des données textuelles, Liège - Bruxelles, Université de Liège - Facultés universitaires Saint-Louis, 2012 (article en ligne disponible à l'adresse suivante: http://lexicometrica.univ-paris3.fr/jadt/j adt2012/Communications/Mellet, %20Syl vie%20et %20al.%20-%20Legitimite%20d%27une%20unite%20textometrique.pdf);
ElD., «Le motif: une unité phraséologique englobante? Étendre le champ de la phraséologie de la langue au discours », Langages 189(2013), p. 65-79.
Cf. D. MAYAFFRE, «De la lexicométrie à la logométrie », L'Astrolabe. Recherche littéraire et informatique (2005), p. 1-11 (article en ligne disponible à l'adresse suivante: https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00551921/document);
B. PINCEMIN, «Sémantique interprétative et textométrie - Version abrégée», Corpus 10(2011), p. 259-269 (article en ligne disponible à l'adresse suivante: http://corpus.revues.org/2121).
D. LEGALLOIS, «Des phrases entre elles à l'unité réticulaire de textes », Langages 163(2006), p. 56-70.
J.-M. VLPREY, Dynamique du vocabulaire des «Fleurs du mal », Paris, Champion, 1997;
id., «Philologie numérique et herméneutique integrative », dans J.-M. ADAM ET U. HEIDMANN (éd.), Sciences du texte et analyse de discours, Genève, Slatkine, 2005, p. 51-68.
F. RASTIER, L'isotopie sémantique, du mot au texte, thèse de doctorat d'État, sous la direction de B. POTTIER, Université de Paris-Sorbonne, 1985;
id., Sémantique interprétative, Paris, PUF, 1987;
Id., Sens et textualité, Paris, Hachette, 1989.
Voir D. LONGRÉE, X. LUONG et S. MELLET, «Temps verbaux, axe syntagmatique, topologie textuelle: analyse d'un corpus lemmatisé », dans C. FAIRON, A. DLSTER ET G. PURNELLE (éd.), Le poids des mots: actes des 7èmes journées internationales d'analyse statistique des données textuelles, Louvain-la-Neuve, 10-12 mars 2004, Louvain, Presses universitaires de Louvain, 2004, p. 743-752
ou encore L. CALLEBAT («L'expression dans les œuvres d'Apulée », dans W. HAASE[éd.], Aufstieg und Niedergang der rômischen Welt II, 34, 2, Berlin - New York, De Gruyter, 1993, p. 1600-1664)
D. LONGRÉE et S. MELLET, «Légitimité d'une unité textométrique: le motif », art. cité (n. 6).
D. LONGRÉE et S. MELLET, «Légitimité d'une unité textométrique: le motif », art. cité (n. 6).;
ElD., «Le motif: une unité phraséologique englobante? Étendre le champ de la phraséologie de la langue au discours », art. cité (n. 6), p. 65-79.
voir le site du LASLA à l'adresse suivante: http://www.cipl.ulg.ac.be/Lasla/tlatins.html).
Voir notamment M. RAMBAUD, L'art de la déformation historique dans les Commentaires de César, Paris, «Les Belles Lettres », 1966 (lreéd. 1963), p. 75, p. 91-93, p. 173
et J. HELLEGOUARC'H «César, écrivain et homme d'action. Quelques observations sur le récit césarien », Vita Latina 140(1995), p. 13-21.
Cf. D. LONGRÉE, «Tacite narrateur: l'emploi des premières personnes du singulier et du pluriel dans les Histoires et les Annales », dans J. DANGEL ET CL. MOUSSY (éd.), Les Structures de l'oralité en latin, Paris, Publications de la Sorbonne, 1997, p. 235-243.
Pour une étude de l'emploi des premières personnes chez Salluste, cf. ÉT. EVRARD, «L'émergence du narrateur principal dans l'œuvre de Salluste», dans R. POIGNAULT (éd.), Présence de Salluste. Actes du Colloque, Université de Tours, 23 et 24 février 1996, Tours, Centre de recherches A. Piganiol, 1997, p. 13-25
(= id., Stephania selecta. Recueil d'articles édités par J. Denooz et G. Purnelle, Liège, C.i. P. L., 2002, p. 127-139).
Cf. D. LONGRÉE et S. MELLET, «Légitimité d'une unité texte-métrique: le motif », art. cité (n. 6);
ElD., «Le motif: une unité phraséologique englobante? Étendre le champ de la phraséologie de la langue au discours », art. cité (n. 6), p. 65-79.