Certaines maladies aussi dommageables que la septoriose du blé semblent développer de plus en plus de résistance aux fongicides. Faute de disposer de produits de structures chimiques ou de modes d’action nouveaux, cette évolution impose que d’autres leviers soient actionnés pour limiter la pression des maladies : résistance ou tolérance variétale, gestion adéquate des apports d’azote, impact de la date de semis, … : ces leviers agronomiques sont identifiés. Le présent article vise à faire le point sur leur intérêt pratique et sur leurs limites.