[fr] Au cœur d’une grande forêt naturelle comme celle d’Anlier, de Saint-Hubert ou de Daverdisse, le promeneur ressent souvent une impression de calme et de stabilité. Cela pourrait faire penser que la forêt est éternelle et sa forme immuable. Il n’en est rien, ce n’est qu’une question d’échelle temporelle, car depuis toujours, la forêt n’est que changement, dans sa surface, sa structure et sa composition, disparaissant parfois totalement pour recoloniser ensuite l’espace avec d’autres essences.