Abstract :
[en] Summary : Dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) inhibitors (gliptins) are more and more prominent medications in the management of type 2 diabetes (T2D), with five molecules commercialized and as many fixed-dose combinations with metformin. After failure of metformin monotherapy, gliptins compete with old medications such as sulphonylureas, on the one hand, or with new oral antidiabetic agents such as inhibitors of renal sodium-glucose cotransporters type 2 (SGLT2) (gliflozines), on the other hand. Another alternative is the use of an incretin mimetic (agonist of glucagon-like peptide-1 receptors, to be injected subcutaneously) rather than an incretin enhancer such as a gliptin, before considering insulin therapy. This article analyses the arguments in favour of DPP-4 inhibitors. We will mainly consider the use of gliptins in patients with recently diagnosed T2D, in elderly and frail patients and in those with chronic kidney disease. To illustrate the discussion, we will analyze the results of both interventional and observational studies with vildagliptin. Obviously, these various groups of patients represent a large proportion of T2D population.
[fr] Résumé : Les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4), appelés gliptines, occupent une place de plus en plus importante dans le traitement du diabète de type 2 (DT2), avec cinq molécules disponibles et autant de combinaisons fixes avec la metformine. Après échec de la metformine en monothérapie, les gliptines sont en concurrence avec, d’une part, d’anciens médicaments comme les sulfamides, d’autre part, des nouveaux antidiabétiques oraux que sont les inhibiteurs des cotransporteurs SGLT2 rénaux (gliflozines). Une autre alternative est de recourir à un incrétinomimétique (agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide-1, en injection sous-cutanée) plutôt qu’à un incrétinopotentiateur comme une gliptine, avant d’envisager le passage à l’insuline. Cet article analyse les arguments en faveur des inhibiteurs de la DPP-4. Nous centrerons principalement le débat sur les patients avec un DT2 de découverte relativement récente, ceux avec un âge avancé et une certaine fragilité et ceux avec une insuffisance rénale, en s’inspirant des études interventionnelles ou observationnelles réalisées avec la vildagliptine. A l’évidence, ces différents groupes de patients représentent une frange non négligeable de la population DT2
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