Polykarpe ZAKAR, Histoire de la Stricte Observance de l'Ordre cistercien depuis ses débuts jusqu'au généralat du cardinal de Richelieu (1606-1635), Rome 1966, p. 48, n. 84.
Marie-Élisabeth HENNEAU, Les cisterciennes du pays mosan. Moniales et vie contemplative à l'époque moderne, Bruxelles/Rome 1990, p. 217-218.
Voir notamment les commentaires de Guido Bentivoglio, nonce à Bruxelles de 1607 à 1615, à propos de la cura monialium par les abbés cisterciens. « Delia relatione di Fiandria... 6 aprile 1613 », dans Guido BENTIVOGLIO, Opère, t.1, Milan 1806, p. 190-193.
Dominique DINET, « Trois abbayes de cisterciennes à l'époque moderne. De la fin du XVIeà la fin du XVIIIesiècle », Cîteaux et les femmes, éd. Bernadette BARRIERE et Marie-Elisabeth HENNEAU, Paris 2001, p. 283-297.
Henri Velpen, abbé d'Aulne de 1586 à 1622. Monasticon belge, t.1 (1897), p. 339-340.
Paul de Fisen, abbé du Val Saint-Lambert de 1609 à 1624. Monasticon belge, t. II, 162, p. 168.
La copie comporte le titre suivant: « Extraits des statuts touchant les Abbesses et Moniales de l'Ordre de Cisteaulx faits au Chapitre provincial de tous les Abbés des provinces du Pays-Bas et Liège, célébré à l'Abbaye de Loz, le cinquième jour de juillet de l'an mil six cent et douze, Président le Révé-rendissime Père en Dieu, dom Nicolas Boucherat, général, traduit du latin en franchois ». Ces efforts de traduction répondent aux souhaits du Chapitre général de 1601. Statuta capitulorum generalium ordinis cisterciensis ab anno 1116 ad annum 1786, éd. Joseph-M. CANIVEZ, t. 7, Louvain, 1939, 1601, Cap. XXX « De monialibus », no2 (= Statuta capitulorum generalium).
Statuta 1612, art. 48. Edouard HAUTCOEUR, Histoire de l'abbaye de Flirtes, Lille 1909, p. 201.
Marie-Élisabeth HENNEAU, Les cisterciennes du pays mosan, p. 526-546. En 1609, le Chapitre général se plaint du comportement de certaines abbesses et de leurs filles qui ne souscrivent absolument pas aux décrets de la XXVesession du Concile de Trente imposant la clôture stricte à toutes les religieuses à vœux solennels. Cf. Statuta capitulorum generalium, 1609, no56.
Marie-Elisabeth HENNEAU, « La juridiction de l'Ordre de Cîteaux sur les communautés de la branche féminine aux Pays-Bas et dans la principauté de Liège: 15e-18es. », Cîteaux et les femmes, éd. Bernadette BARRIERE et Marie-Élisabeth HENNEAU, Paris 2001, p. 298-315
ID., « Monachisme féminin au pays de Liège à la fin du XVIIesiècle: une vie sub clausura perpetua? », Revue Histoire, Économie et société, 3 « La Femme dans la ville: clôtures choisies, clôtures imposées », 2005, p. 387-398.
Étoffe épaisse, faite, à l'origine, de poils de chameau. « La serge en fait n'a pris le relais qu'assez tard. Dans les premières années du xvnesiècle, les tissus de soie et le camelot jouaient encore un rôle. L'utilisation du camelot notamment était plus large qu'il n'y paraît, car on en confectionnait souvent les corsages de robes, de corsets ou de chemisettes. À côté de la croissance de la serge, il faut noter les progrès de la toile et, dans une moindre mesure, des tissus de coton. » Micheline BAULANT, « Jalons pour une histoire du costume commun », Histoire et mesure, Vol. XVI - no 1/2, Varia, 2001, p. 3-56.