[en] Under consideration of three major personality tests (TAT, Rorschach, Szondi), it appears that Adolf Eichmann chiefdirector for the deportation of jewish people from 1942 to 1945 was no common individual but a perverse sadomasochistic one with schizoparanoïd features under an osessionnal mask. These data contradict the famous opinion of Hannah Arendt about the "banality of evil".
Research center :
Centre d'Etudes Pathoanalytiques (CEP), Belgique.
Disciplines :
Treatment & clinical psychology
Author, co-author :
Peralta, Alberto
Kramer, Richard
Stassart, Martine ; Université de Liège - ULiège > Département Psychologies Cliniques et Systèmes Humains > Département Psychologies Cliniques et Systèmes Humains
Language :
French
Title :
Le TAT de Adolf Eichmann
Alternative titles :
[en] The TAT of Adolf Eichmann
Publication date :
15 April 2014
Journal title :
Szondiana: Zeitschrift für Tiefenpsychologie und Beiträge zur Schicksalsanalyse
ISSN :
1663-9766
Publisher :
Szondi-Institut, Zurich, Switzerland
Volume :
33
Issue :
Décembre 2013
Pages :
8-45
Peer reviewed :
Peer reviewed
Funders :
Szondi Institut, Zürich, Suisse
Commentary :
A l'examen de trois tests de personnalité (TAT, Rorschach, Szondi) il apparaît qu'Adolf Eichmann, l'éxécuteur en chef de la déportation des Juifs entre 1943 et 1945, n'était pas un individu banal mais bien un pervers sadomasochiste avec des traits schizoparanoïdes, sous une façade obsessionnelle. Ces données vont à l'encontre de la thèse bien connue exposée par Hannah Arendt dans son livre traitant de la "banalité du mal".
