Cf. J. Bourgault, " "Cette contradiction dont je témoigne". Sartre et le RDR ", Europe, no 1014, 2013, pp. 225-240.
Un article peu connu de Sartre, " Défense de la culture française par la culture européenne " (Politique étrangère, vol. 14, no 3, 1949, pp. 233-248), donne des indications précieuses sur les ambitions de Sartre à la fin des années 1940. Il sera nécessaire ailleurs d'en suivre le destin dans le détail dans le contexte politique des années 1950 et 1960.
J.-P. Sartre, La Reine Albemarle ou le dernier touriste (Fragments d'un livre sur l'Italie), 1951-1953, dans Les Mots et autres écrits autobiographiques, Paris, Gallimard, La Pléiade, 2010, pp. 681-904.
J.-P. Sartre, " Un parterre de capucines " (1952)
dans J.-P. Sartre, Les Mots et autres écrits autobiographiques, pp. 683-689.
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre " (1953), dans ibid., pp. 689-699.
M. Macé, " Sartre considéré comme terminus ", Les Temps Modernes, no 632-633-634, " Notre Sartre ", 2005, p. 177: " [...] l'amour de la littérature chez Sartre est un amour anachronique et qui se sait tel. [...] il y a chez Sartre un sentiment d'éloignement de la littérature dans le contemporain, sentiment de disparition et d'anachronisme qu'il n'a pas peu contribué à créer [...], mais qui n'émousse pas sa passion des livres et son désir, justement, de faire durer cette littérature."
M. Macé, " Que veut-on de moi? L'expérience italienne de Sartre ", Les Temps Modernes, no 658-659, 2010, p. 86. Comme l'écrit Sartre: " [...] le champ visuel, c'est l'avenir immédiat Toujours un peu prophétique. [...] Ici mon avenir rétrécit comme une peau de chagrin, on me donne les minutes au compte-gouttes, une à une "
(J.-P. Sartre, La Reine Albemarle, " Pages retrouvées. Venise ", p. 804). Pour le dire encore autrement, Venise est un " labyrinthe pour escargots " (p. 806). Nous retrouverons ce motif un peu plus loin.
M. Macé, " Que veut-on de moi ? L'expérience italienne de Sartre ", p. 81.
M. Macé, " Sartre considéré comme terminus ", p. 163.
L. Jenny, " Nausée de Venise ", Littérature, no 139, 2005, p. 5.
Selon une autre formule, de Michel Contât cette fois. Cf. M Contât, " Autopsie d'un livre inexistant: La Reine Albemarle ou le dernier touriste " (1985), dans Pour Sartre, Paris, PUF, 2008, p. 154.
L. Jenny, " Nausée de Venise ", p. 23.
J.-P. Sartre, Qu'est-ce que la littérature? (1948), Paris, Gallimard, 2010, p. 21 (Sartre fait là référence au Glossaire de Leiris);
L'Idiot de la famille (1971), t. 1, 1988, pp. 928-935 (Sartre reprend comme en passant p. 935 l'exemple de " Florence, femme et fleur "). Voir aussi L 2, pp. 1994-1995, où Sartre revient sur la passion de Flaubert pour la matérialité du langage et associe l'exemple de Calcutta avec un autre passage célèbre de l'ouverture de Qu'est-ce que la littérature ? (pp. 15 et 24), où il s'arrête, à propos du Tintoret, sur l'angoisse faite chose dans la " déchirure jaune du ciel au-dessus du Golgotha ".
Cf. M. Macé, " Sartre considéré comme terminus ", p. 160.
(" Quademo di la Regina Albemarla o il uldmo turisto ", pp. 816-817), alors que l'histoire littéraire se souvient du récit que Gide donne, dans son Journal, de son " détroussage " en gondole. C'est le passage qui a tant marqué Sartre du " sens de la réalité qui manque " à Gide. Sartre lui-même n'échappe pas à ce détraquage généralisé des outils et des rôles: c'est par acquit de conscience qu'égaré il cherche le concierge de l'immeuble dans lequel vit Carlo Levi, et il précise: " L'acquit de conscience et la conduite d'échec, c'est tout un "
(" Pages retrouvées. Rome ", p. 744).
S. Teroni, " Venise: la ville et le fantasme ", Les Temps Modernes, no 531-532-533, vol. 2, 1990, p. 762.
G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", dans Les Mots et autres écrits autobiographiques, p. 1501.
M. Macé, " Que veut-on de moi? L'expérience italienne de Sartre ", p. 102.
M. Contât, " Autopsie d'un livre inexistant: La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", p. 156.
S. Teroni, " Venise: la ville et le fantasme ", p. 764.
Voir H. Melville (1854), The Encantadas ou Iles enchantées, Paris, Pion, 1937;
Bartleby. Les Iles enchantées, Paris, Flammarion, 1993. Pour une analyse détaillée des " cercles de l'Enfer " de ces îles perversement enchanteresses
voir I. Newbeiy, " " The Encantadas ": Melville's Infemo ", American Literature, vol. 38, no 1, 1966, pp. 49-68. Dans les pages sur Rome, J.-F. Louette a relevé l'étonnante (contre-) métamorphose d'une soirée de spectacle en paysage volcanique, où le Cotisée apparaît à Sartre comme " un cratère habité, enfumé, rougeoyant " dont le sol est en train de s'effondrer. D voit dans cette " rêverie funèbre " de Sartre, dans ce " vertige du vide ", un " sentiment à la fois autobiographique et politique " qui dévoile, sous la " mélancolie privée ", une " angoisse politique " liée à l'aggravation de la guerre froide marquée notamment par la reprise d'essais atomiques.
Cf. " Stendhal, ou le refuge perdu de Jean-Paul Sartre ", dans Silences de Sartre, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 2002, pp. 369-370, ainsi que la note 51 de la p. 369.
S. Teroni, "Venise: la ville et le fantasme", p. 765.
J.-L. Comille, Nauséographie de Sartre, Paris, L'Harmattan, 2007, p. 66, n. 95.
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 775.
J.-L. Comille, Nauséographie de Sartre, pp. 67-68, p. 71 pour la formule " bibliothèque ambulante ".
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 695.
G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", p. 1522, n. 5.
Cf. J. Cocteau, Les Mariés de la tour Eiffel, 1921, dans Théâtre complet, Paris, Gallimard, La Pléiade, p. 45.
J.-P. Sartre, " Préface au guide Nagel "Les Pays nordiques" ", dans La Reine Albemarle ou le dernier touriste, pp. 899-900. Nous aurons à revenir plus loin sur ce passage, à la fois du point de vue de la forme, Cocteau n'étant à cet égard qu'un prête-nom, et sur le fond, afin de préciser ce qu'ont en commun le nord et le sud de l'Europe qui se refusent désormais à être les décors provisoires qui distraient le passage des touristes.
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Naples ", p. 700.
J. Bellemin-Noël, " Derrière "La Chambre". Dans la fabrique d'un délire ", Les Temps Modernes, no 531-533, 1990, pp. 670-671.
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 788.
J.-P. Sartre, " Quaderno di La regina Albemarla o il ultimo turisto ", pp. 837-840.
J.-P. Sartre, " Quaderno di La regina Albemarla o il ultimo turato ", p. 838.
(A. Gide, Dostoïevski, Paris, Pion, 1923, p. 155).
(J.-P. Sartre, Les Mots et autres écrits autobiographiques, pp. 237-238.)
(A. Gide, Dostoïevski, p. 155).
Plutôt: " que peut l'homme? " (p. 191), puisque Nietzsche a modifié de façon décisive la question anthropologique, enfin rendue à son caractère angoissant, en même temps que l'homme est confronté à sa contingence, à son inachèvement et à sa responsabilité.
Voir J.-P. Sartre, L'Etre et le Néant (1943), Paris, Gallimard, 1996, p. 620.
G. Simenon, Le Haut Mal, Paris, Fayard, 1933. Il est probable que Sartre a lu le livre, comme il est probable que Sartre a lu le reportage de Simenon sur le départ des bagnards de La Rochelle vers Cayenne que l'écrivain publie la même année, en septembre 1933, dans la revue Détective.
A. Jouffroy, " Préface ", dans M. Leiris, Haut Mal (1943), Paris, Gallimard, 2005, p. 13. Il faudrait ici commenter longuement le recueil, notamment les poèmes " La chute ", " Le promeneur de Barcelone ", " Les veilleurs de Londres ".
J.-P. Sartre, " Les écrivains en personne " (1960), dans Situations, IX, Paris, Gallimard, 1972, p. 14.
(J.-P. Sartre, " Venise de ma fenêtre ", p. 692.)
J.-F. Louette, " Introduction ", dans J.-P. Sartre, Les Mots et autres écrits autobiographiques, p. XXXV.
J.-P. Sartre, L'Etre et le Néant, p. 648.
Cf. L. Jenny, " Nausée de Venise ", pp. 15-16.
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 695. Les deux autres occurrences se trouvent dans les pages retrouvées sur Venise que nous citons plus loin.
Cf. M. Macé, " Sartre considéré comme terminus ", pp. 174-175. L'interprétation que je donne de ces pages est toutefois sensiblement différente. Pour M. Macé, la figure de la proue n'en permet pas moins à Sartre de rester au balcon d'une contemplation esthétique; je pense plutôt qu'il s'agit pour Sartre d'être totalement exposé à ce qui advient effectivement
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 792.
L. Jenny, " Nausée de Venise ", p. 16.
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 792.
J.-P. Sartre, Jean sans terre (1955), dans Les Mots et autres écrits autobiographiques, p. 970. Certes, le passage sera modifié dans Les Mots: Cherbourg y remplace Brest. Cela ne change pas grand-chose: Cherbourg est une sorte de Finistère normand.
M. Macé, " Que veut-on de moi? L'expérience italienne de Sartre ", p. 87.
(M. Macé, " Styles littéraires et formes de vie - Sartre au balcon ", dans Du récepteur ou l'art de déballer son pique-nique, Actes du colloque organisé par Bérengère Voisin, les 26 et 27 mai 2011, Publications numériques
CEREDI, " Actes de colloques et journées d'étude ", no 6, 2012, URL: http://ceredi.labos.univrouen. fr/public/?styles-litteraires-et-formes-de.html).
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 699.
Voir aussi " Pages retrouvées. Venise ", p. 782: " L'eau c'est un songe, elle s'évanouit."
G. Bachelard, L'Eau et les rêves (1942), Paris, Le livre de Poche, 2011, p. 180, pp. 121-124.
J.-P. Sartre, L'Etre et le Néant, p. 364, pp. 647-649. " Ainsi, considérerions-nous l'étude de M. Bachelard sur l'eau, qui fourmille d'aperçus ingénieux et profonds, comme un ensemble de suggestions, comme une collection précieuse de matériaux qui devraient être utilisés, à présent, par une psychanalyse consciente de ses principes " (p. 649).
(J.-P. Sartre, Qu'est-ce que la littérature ?, p. 63). Sur ces " variations " sartriennes autour de Bachelard
voir P. Rodrigo, " Sartre et Bachelard. Variations autour de l'imagination bachelardienne ", Cahiers Gaston Bachelard, no 8, 2006, pp. 51-64.
G. Bachelard, La Terre et les rêveries de la volonté. Essai sur l'imagination de la matière, Paris, Corti, 1948, p. 345.
L. Jenny, " Nausée de Venise ", p. 18.
(G. de Maupassant, " Venise ", dans T. Scarpa, Venise est un poisson, Paris, Christian Bourgois, 2010, p. 105).
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 797.
Cf. S. Teroni, " Venise: la ville et le fantasme ", p. 767, n. 18: " [...] il est difficile d'imaginer que Sartre ait pu rester insensible à la description, dans The Encantadas, de la tortue, emblématique de l'archipel tout entier, avec ses deux faces, dure et noire d'un côté, molle et claire de l'autre. "
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 797.
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 694.
J.-P. Sartre, Carnets de la drôle de guerre, pp. 413-415 et pp. 429-439. Les deux extraits cités se trouvent p. 415 et p. 413.
J.-F. Louette, " Introduction ", p. XXV: " Ainsi l'écriture de soi serait liée à ce moment où le sujet sartrien, un pied dans la tombe, considère sa vie de l'extérieur. C'est encore la sienne et déjà plus tout à fait. Instant glissant, par définition: ma vie continue cependant que je la regarde; si j'étais tout à fait mort, je ne pourrais évidemment pas écrire. Mais je fais comme si j'étais déjà de l'autre côté du mur de ma mort, et je lance, de mon trépas qui n'est pas encore le mien vers ma vie qui n'est déjà plus la mienne, un rapide regard oblique."
(J.-F. Louette, " Introduction ", p. LI).
(J. Simont, " Notice des Carnets de la drôle de guerre ", p. 1384).
Cf. J.-P. Sartre, " Un parterre de capucines ", p. 683 (il s'agit de la première page); " Venise, de ma fenêtre ", p. 693.
Voir G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", p. 1509, n. 1.
A Cohen-Solal, Sartre 1905-1980, Paris, Gallimard, 1985, p. 390;
J. Gerassi, Entretiens avec Sartre, Paris, Grasset, 2011, p. 136.
Voir G. Bachelard, " Les origines de la lumière " (1952), dans Le Droit de rêver, Paris, PUF, 1970, pp. 32-37, p. 33 et p. 35 pour les deux brèves citations. L'article de Bachelanl a d'abord été publié dans la revue de la galerie Maeght, Derrière le miroir, où Sartre publie en 1954 son article sur " Les peintures de Giacometti ". Pour approfondir ce point des relations entre Bachelard et Sartre, il est également utile de se reporter à deux des articles que Bachelard publie dans la revue Verve où justement paraît " Venise, de ma fenêtre " en 1953: celui que Bachelard publie en 1952 sur " Les Nymphéas ou les surprises d'une aube d'été " de Monet, où il médite sur la profondeur des eaux de l'Ile-de-France; celui qu'il publie ensuite en 1960 comme une " Introduction à la Bible de Chagall ". Les deux textes ont été repris dans Le Droit de rêver. D'une façon plus générale, on comprend à présent la stratégie de Sartre: répondre à Bachelard au plus près de Bachelanl lui-même, d'une part en assumant - pour en renverser le sens - le rapprochement que Bachelard avait produit entre Melville et lui-même et, d'autre part, en endossant à sa manière l'œuvre picturale de Chagall.
E. Cohen, Paris dans l'imaginaire national de l'entre-deuxguerres, Paris, Publications de la Sorbonne, 1999, p. 225.
Cf. G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", pp. 1507-1510.
J.-P. Sartre, " Quademo di La regina Albemarla o il ultimo turisto ", p. 852.
Voir " Le séquestré de Venise ", Les Temps Modernes, no 141, 1957, pp. 761-800;
" Saint Georges et le dragon ", L'Arc, no 30, 1966, pp. 35-50.
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 699.
(L. Jenny, La Vie esthétique. Stases et flux, Lagrasse, Verdier, 2013, p. 11.)
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Rome ", pp. 746-752.
Voir S. Winter, " Sehen auf Reisen. Saitres Italienfragmente La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", dans M. Lommel & V. Roloff (éds), Sartre und die Medien, Bielefeld, Transcript, 2008, p. 196, p. 201 et p. 205.
(J.-P. Sartre, Qu'est-ce que la littérature?, p. 188.
(J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 808
et " Quademo di La regina Albemarla o il ultimo turisto ", p. 853).
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Rome ", p. 748.
G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", p. 1507.
Cf. J.-F. Louette, Traces de Sartre, Grenoble, ELLUG, 2009.
(J.-F. Louette, " Introduction ", p. XXXVI).
Cf. G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", pp. 1495-1496.
J.-P. Sartre, Jean sans terre, p. 973; p. 990; pp. 1001-1002. Les passages seront repris dans la version des Mots.
Voir Les Mots et autres écrits autobiographiques, p. 9; p. 57; pp. 67 et 66.
G. Philippe note que Sartre a visité l'Ecosse pendant l'été 1951 et a lu à cette occasion plusieurs ouvrages sur ce pays, où il a pu croiser le nom de George Monck (G. Philippe, " Notice de La Reine Albemarle ou le dernier touriste ", p. 1500).
J.-P. Sartre, " Venise, de ma fenêtre ", p. 689..
Le Monde au temps des surréalistes (sans nom d'auteur), Surréalisme, Variétés (Bruxelles), 1929, pp. 26-27.
E. Adamowicz, Ceci n 'est pas un tableau. Les écrits surréalistes sur l'art, Paris/Lausanne, L'Age d'Homme, 2004, p. 113.
Voir P. Nizan, Essais à la troisième personne (1925-1927), Paris, Le Temps des Cerises, 2012;
P. Oiy, Nizan, destin d'un révolté, Paris, Complexe, 2005, p. 46;
S. Al-Matary, " Nizan retrouvé? " [sur P. Nizan, Essais à la troisième personne], Acta Fabula, vol. 14, no 3, mars-avril 2013 (www.fabula.org).
J.-P. Sartre, Carnets de la drôle de guerre, p. 430.
Voir R. Aron, Mémoires, vol. 1(1983), Paris, Julliard, p. 103.
G. Duhamel, Géographie cordiale de l'Europe (1931), Paris, Mercure de France, 1951, pp. 21, 25 et 14.
J.-P. Sartre, " Préface au guide Nagel "Les pays nordiques" ", p. 902.
J.-P. Sartre, " Pages retrouvées. Venise ", p. 779: " Ce désert aqueux, inhumain, s'il accueille l'homme, c'est comme un refuge, précisément parce qu'il est inaccessible."
Sur ce point, voir le bel article de P. Tamassia, " A propos de La Reine Albemarle ", Revue des Sciences humaines, vol. 308, no 4, 2012, pp. 161-172.