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Abstract :
[fr] D’un point de vue phénoménologique, parler du corps c’est déjà ne plus être dans le corps, mais bien dans la représentation que l’on se fait de celui-ci. Il nous faut donc trouver des stratégies pour contourner cet obstacle épistémologique. Dans ce contexte, je propose de discuter de la problématique des visages en situation d’enfermement, du sort qui leur est réservé, et de leurs possibilités d’expérimenter la liberté. Je m’appuierai sur différentes situations cliniques, j’aurai recours à des œuvres d’art, et discuterai également des apports d’auteurs comme Sartre et Sami-Ali. Le temps (la permanence du changement) sera le fil conducteur de mon propos.